Ilana RAMCHAR Economie multiple /Générosité /  Enfance
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Les aides pour l'enfance


Assistance maternelle et garde d'enfants :
L'ACOSS ( Agence Centrale des Organismes de Sécurité Sociale) donne quelques chiffres :
-  160 000 assistances maternelles  et garde à domicile en 2004 à travers la PAJE  (Prestation d'Accueil  du Jeune Enfant) qui prend en charge une partie de la rémunération du salarié et des cotisations sociales.

Le TEE (Titre Emploi occasionnel) qui facilite l'embauche (une seule formalité) pour moins de 100 Jours dans l'année.
Le CEA (Chèque Emploi Associatif) qui permet de rémunérer à volonté des temps partiels avec des formalités simples.

Allocations familiales :
Elles sont destinées à s'assurer que les enfants qui naissent en france ou qui viennent d'autres pays (adoption - immigration) vont disposer des moyens matériels suffisants (ou minimum) pour pouvoir se nourrir sainement - se vêtir et se loger correctement - suivre les cours nécessaires à leur instructions - se soigner si cela est nécessaire - participer à la vie culturelle (arts - sports - loisirs).
Il n'est pas indispensable que ce soient le ou les parents qui gérent l'utilisation des sommes nécessaires pour réaliser ce projet.


Proposition :
Il est ouvert pour chaque famille, ou chaque enfant, un compte qui permet les dépenses de base et uniquement celle-ci. C'est une carte à puce alimentée par l'administration des affaires sociales qui crédite chaque semaine la somme prévue.

Mise en oeuvre :
Les magasins ou entreprises savent qu'elles ne seront pas débitées si elles dépassent le quota de la carte et pour des produits non destinés aux enfants. Les diverses aides aux enfants doivent pouvoir servir en priorité pour le logement. Certains types de magasins n'ont pas à utiliser la carte (tabacs - brasseries - restaurants). Les seuls coût pris en compte par la carte sont les premiers prix, le complément éventuel étant payés sur d'autres sources de ressources

5 600 000

C’est le nombre d’enfants de moins de cinq ans qui meurent de faim chaque année, selon le rapport « Progrès pour les enfants : un bilan de la nutrition » de l’UNICEF. Soit 10 enfants qui meurent chaque minute dans le monde.
Et 146 millions d’enfants souffrent aujourd’hui d’une grave insuffisance alimentaire. Ce rapport dramatique constate que la moitié des enfants présentant une insuffisance pondérale se trouvent en Asie du Sud.
De plus, malgré quelques améliorations en Afrique de l’Ouest et en Amérique Latine, la lutte contre la dénutrition a ralenti. En effet, depuis 1990, le pourcentage d’enfants de moins de cinq ans souffrant de la faim n’a diminué que de 5%.

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